Extra botanica à Blaise Pascal
- Sophie Guillin
- 30 nov.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 3 jours

Inspirée par les travaux de la botaniste Sophie Nadot (laboratoire Écologie, Société et Évolution de l’université de Paris-Saclay), EXTRA BOTANICA propose une exploration du monde végétal à travers une création théâtrale. La représentation a été suivie d'un dialogue avec le metteur en scène et l'actrice.
Le bilan des élèves de 2nde 1, option histoire des arts, suite à cette rencontre :
Qu’avez-vous pensé de la pièce ? :
- On ne comprend pas tout de suite, il m’a fallu du temps pour vraiment comprendre.
- Il y a une vraie recherche d’idée, de sujet, une envie de transmettre un message. C’est très bien.
- L’utilisation de l’espace est intéressante : briser le 4ème mur par exemple, peindre dans la serre
- C’est une mise en scène avec peu d’éléments, mais c’est très efficace, surtout avec le son et la lumière.
- Il y a un mélange de comique et de poétique. Le poétique c’est la musique et le texte chanté, et aussi le palmier, faire jouer le palmier, et les pensées.
- C’est intéressant de voir un metteur en scène très impliqué dans sa pièce.
- Cette pièce, c’est un mélange de tas de choses, sciences, histoire des arts et ça peut intéresser tout le monde
- On voit que la science et les arts sont parfois en décalé, et puis après ils dialoguent
- C’est parfois un peu fouillis. Il y a beaucoup d’informations en même temps, beaucoup d’informations sonores, des noms qu’on ne connait pas, des noms de plantes, beaucoup de choses à regarder en même temps.
- On apprend plein de choses.
Vous dites qu’il y a un message dans la pièce. Quel est ce message, selon vous ? :
- C’est qu’il y a beaucoup de palmiers, beaucoup de sortes de palmiers.
- On fait attention aux animaux, on les connait, mais il faudrait faire plus attention aux plantes et les reconnaitre en tant qu’êtres vivants.
- Avoir conscience qu’il y a des plantes qui meurent, autour de nous. Que la biodiversité est menacée. Il y a des écocides. On peut aussi penser à la déforestation.
- Voir que les plantes ont une autre manière de communiquer, d’avoir des liens, de faire partie d’une famille. On comprend que le point de vue du palmier est différent du regard de la scientifique.
- On prend conscience des conditions de vie des plantes.
- Ça peut questionner aussi les scientifiques. Ils « étudient » les plantes, mais ils ne font pas toujours attention aux écosystèmes, à la plante elle-même, à ce qu’elle vit.




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